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Selon l’OMS, les maladies cardiaques sont la première cause de mortalité dans le monde. Chaque année, elles entraînent le décès de 17,7 millions d’individus, soit 31% de la mortalité mondiale totale. Face à ce constat, les chercheurs travaillent depuis plusieurs années sur des dispositifs, des solutions qui permettraient de réduire le nombre de morts et de mieux détecter des anomalies cardiaques. Dernièrement, des chercheurs américains ont mis au point un tatouage électronique de détection cardiovasculaire. Les résultats de leur étude ont d’ailleurs été publiés fin mai dans la revue Advanced Science. Dans cet article, on apprend que leur tatouage, qui est aujourd’hui à l’état de concept, peut mesurer l’activité du cœur.

Un tatouage électronique très discret et composé de minuscules capteurs

A l’origine de cette étude, on retrouve des chercheurs de l’université du Texas, à Austin. Leur travail et leurs recherches ont permis de créer un tatouage électronique de détection cardiovasculaire. Ce dernier est composé d’une petite lamelle de graphène, ultra mince et extensible, qui se colle à la peau et qui contient deux minuscules capteurs : un pour l’électrocardiogramme et un autre pour le sismo-cardiogramme. Deux capteurs indispensables pour mesurer les mouvements cardiaques avec précision. De même, les données qu’ils enregistrent sont collectées et stockées sur une application, à installer sur un smartphone. Sans gêne pour le patient, ce tatouage se veut très discret afin d’être rapidement oublié.

Un concept offrant un meilleur suivi mais futuriste

Si un jour cette innovation était commercialisée, elle révolutionnerait la détection et le suivi des anomalies cardiaques. Mais pour l’heure, les chercheurs n’en sont pas encore là car il s’agit d’un concept. Désormais, ils doivent réaliser des tests sur les animaux avant de pouvoir mener des essais cliniques sur l’homme. Il faudra donc encore attendre avant de voir ces tatouages intelligents arriver sur le marché. Cependant, il nous semblait intéressant d’évoquer les travaux de ces chercheurs car en France, les maladies cardiovasculaires causent la mort d’environ 140 000 personnes par an. Dès lors, si l’on pouvait mieux

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