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Le dimanche 12 décembre 2021 après-midi, au stade des Eglantines de Reims, était organisé un match de foot entre deux clubs : celui de la ville et celui de Matougues. Tout s’est déroulé normalement, et dans une bonne ambiance, quand à la 65ème minute de jeu, l’un des joueurs âgé de 34 ans s’est écroulé au sol. Victime d’un arrêt cardiaque, il a été rapidement pris en charge par deux autres footballeurs qui lui ont prodigué les premiers secours. Et grâce à l’utilisation d’un défibrillateur, son cœur a pu repartir. Transporté à l’hôpital par le Samu, il ne garde aucune séquelle de cet accident.

Le capitaine d’une équipe victime d’un arrêt cardiaque en plein match

Le 12 décembre dernier, l’Olympique FC de Reims recevait à domicile l’équipe de Matougues. Une vingtaine de minutes après la mi-temps, le capitaine du club rémois est « tombé d’un coup », comme l’expliquait le capitaine de l’autre équipe au journal L’Union. Immédiatement, il s’est précipité auprès de la victime et a constaté l’absence de pouls. Formé au secourisme, le capitaine du club de Matougues a aussitôt commencé le massage cardiaque. Pendant ce temps-là, un joueur rémois réalisait les insufflations. Après quelques minutes de massage, le cœur est reparti avant de s’arrêter une deuxième fois. Face à ce constat, les deux joueurs ont utilisé le défibrillateur du stade. Dès le premier choc, le cœur du capitaine du club de Reims est reparti. Le massage cardiaque a ensuite été poursuivi pendant une dizaine de minutes jusqu’à l’arrivée des secours.

Une chaîne de secours mise en place rapidement et bénéfique pour le joueur

Quand le Samu est intervenu, la victime était toujours inconsciente, mais son cœur battait. Finalement, elle s’est réveillée dans l’ambulance. Le lendemain, le président de l’Olympique FC de Reims donnait de ses nouvelles et indiquait que le capitaine de l’équipe allait bien et n’avait pas de séquelle au cerveau. Placé en observation à l’hôpital, il n’avait pas d’antécédent et un mode de vie plutôt sain puisqu’il ne fume pas et ne boit pas. De même, le président du club rémois a tenu à préciser à L’Union que si le trentenaire était toujours en vie « c’est grâce à cette chaîne de fraternité qui s’est mise en place » et à la réactivité des arbitres qui ont demandé s’il y avait des secouristes.

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